Les plantes vont aider les différents systèmes du corps (digestif, circulatoire, lymphatique, articulaire, nerveux) à garder ou à retrouver un bon fonctionnement et équilibre et, de cette façon, diminuer les risques de certaines pathologies ou améliorer la guérison et l’état de santé. Elles ont également un « pouvoir » non négligeable sur la sphère émotionnelle ;)
Quelques exemples :
Mais attention, qui dit plante, ne dit pas zéro danger ! Il existe des contre-indications et des effets secondaires, il y a des « protocoles » à suivre, des doses à respecter… Une plante peut avoir plusieurs actions, plus ou moins efficace selon les cas, et chaque cas nécessite un questionnement approfondi afin de choisir les plantes adéquates.
La prudence est donc de mise, et il est important de rappeler que la pratique de la phytothérapie naturelle ne remplacera PAS le vétérinaire même si elle pourra aider dans de nombreux cas
- La mélisse et la camomille aideront le cheval anxieux, nerveux qui a tendance à développer des problèmes digestifs (agit sur l’acidité de l’estomac et est antispasmodique - soulage le stress et l’anxiété, joue un rôle de calmant)
- Le cassis aidera le cheval qui a de l’arthrose ou des problèmes articulaires (grâce aux flavonoïdes présent dans la plante et à sa participation à l’élimination des déchets).
C’est également un tonique général (grâce à la vit C et au tanin des baies) - Le framboisier soulagera la jument qui a des chaleurs irrégulières ou l’aidera lors du poulinage (par son action tonifiante sur l’utérus)
- Le fenugrec permettra au cheval âgé ou amaigri de retrouver ses rondeurs
- La reine des prés cette « aspirine naturelle » sera utile dans bien des situations (fourbure, douleurs,..),
- Etc…
Mais attention, qui dit plante, ne dit pas zéro danger ! Il existe des contre-indications et des effets secondaires, il y a des « protocoles » à suivre, des doses à respecter… Une plante peut avoir plusieurs actions, plus ou moins efficace selon les cas, et chaque cas nécessite un questionnement approfondi afin de choisir les plantes adéquates.
La prudence est donc de mise, et il est important de rappeler que la pratique de la phytothérapie naturelle ne remplacera PAS le vétérinaire même si elle pourra aider dans de nombreux cas